Alors que la commission de la défense du Parlement français a initié une enquête sur les sociétés de sécurité privées (IOL nº640 ), le ministère des affaires étrangères a, lui, commencé à étudier l'opportunité de sous-traiter une partie de la sécurité de ses ambassades, aujourd'hui assurée par le GIGN. Cette réflexion est motivée par des questions de coûts. Le Foreign Office et le département d'Etat ont, pour leur part, sauté le pas il y a plusieurs années.
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