Historique des émeutes urbaines en France

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Historique des émeutes urbaines en France

Message par Admin » 02 Déc 2005, 20:11

Source : babnet.net

Les émeutes urbaines sont récurrentes en France depuis le début des années 80.

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Les premières émeutes urbaines ont lieu en 1979, à Vaulx-en-Velin. C'est à cette occasion qu'ont lieu les premiers affrontements entre les forces de l'ordre et des groupes de jeunes.

Ce sont également les premières voitures brûlées. Mais ce sont les événements de 1981, dans la cité des Minguettes à Vénissieux, toujours dans la banlieue lyonnaise qui vont connaître la première couverture médiatique de grande ampleur qui entraîne une certain confusion entre révolte sociale et délinquance crapuleuse. Gaston Defferre, alors ministre de l'intérieur préconise une réponse policière ferme.
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Message par Admin » 02 Déc 2005, 20:11

Source : France 2

1981

En juillet 1981, dans le quartier des Minguettes à Vénissieux, près de Lyon, des jeunes, pour la plupart chômeurs et d'origine maghrébine, incendient des voitures, pour protester contre leurs conditions de vie.

La "Zup" des Minguettes est constituée d'une quarantaine de tours de 10.000 logements construits dans les années 65, accueillant une population de 35.000 personnes, dont 20 à 30% issue de l'immigration. En l'espace de trois mois, les incendies de voitures se succèdent et atteignent le nombre de 180 fin septembre.

Parallèlement, les jeunes s'en prennent ouvertement, avec l'aide d'une partie de la population plus âgée, aux forces de police venues rétablir l'ordre.

Tout d'abord désorientés par l'ampleur du phénomène, les policiers mettent en place, fin août, des barrages systématiques aux abords des tours.

L'été suivant, le ministre de l'Intérieur, Gaston Deferre, institue les opérations "anti été-chaud", associant policiers et jeunes dans des actions communes.

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1986:

7 décembre 1986. Pendant un manifestation étudiante regroupant plus de 1/2 Million de jeunes, et suite à des graves émeutes durant ses manifs, des renforts sont appelés pour évacuer des manifestants, Malik Oussekine tente de s'enfuir, il interpellé dans un hall d'immeuble mais meurt suite à une rixe. La justice conclut que la mort était due à un "état pathologique rénal". Des nuits d'émeutes s'en suivirent... Les policiers furent comndamnés pour violence! 2 et 5 ans avec sursis.

Ses évènements on donné lieu au Film "La Haine"

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Un film très anti flic, mais avec une vidéo de départ qui montre des émeutes et les moyens dérisoires avec lesquels les policiers interviennent à cette époque. Je parle de ce film car il a attiré la population sur le problème des banlieues, mais en mettant les casseurs en victimes et les policiers en assassin... Il a quand même reçu 8 césars!

Une période très trouble ou il y avais beaucoup d'affrontements violents, le GIGN était même intervenu dans une de ses émeutes. (les 2 premières photos)

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Message par Admin » 02 Déc 2005, 20:20

1990 - Vaulx-en-Velin

Source : lmsi.net

Vaulx-en-Velin, octobre 1990 : retour sur une émeute...

L’émeute de Vaulx-en-Velin : l’événement a été longuement commenté, des années mêmes après ce mois d’octobre 1990. Il connaît un destine tel qu’il prend place, dans les chronologies officielles de la politique de la ville, comme une deuxième date de naissance : dix ans après les “ rodéos des Minguettes ” de l’été 1981, il semble évident que “ Vaulx-en-Velin ” marque une nouvelle étape dans la prise de conscience d’un problème jusque-là nié ou occulté.

Quel est cet événement ? Le 6 octobre 1990, une moto se renverse au niveau d’un barrage de police qui cherche à la stopper. La mort du passager, un jeune handicapé, Thomas Claudio, déclenche la colère des jeunes de Vaulx-en-Velin. Des affrontements avec la police ont lieu, suivi d’un incendie et de pillages du centre commercial. Quel est le sens ce cet événement ? Le 8 octobre 1990, Le Progrès de Lyon titre en “ une ” : “ Vaulx-en-Velin. L’émeute ”. Suit cette phrase de commentaire reprise dans l’article des pages intérieures : “ Neuf ans après Vénissieux, la maladie des banlieues n’est toujours pas guérie”.

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Source France 2:

Les violences à Vaulx-en-Velin ont été déclenchées par la mort, le samedi 6 octobre 1990, du passager d'une moto - Thomas Claudio, habitant du quartier du Mas de Taureau - heurtée par un véhicule de police. Les jeunes parlent de "crime", la police "d'accident".

Quelques heures après son décès, le quartier du Mas du Taureau, symbole de la politique de réhabilitation menée a Vaulx-en-Velin par la municipalité communiste, devient le théâtre d'extrêmes violences qui dureront près de trois jours.

Grandes surfaces et magasins incendiés et pillés, voitures détruites, pompiers et journalistes blessés, bagarres avec les forces de l'ordre: des centaines de jeunes de cette ville de 40.000 habitants, peuplée de nombreux immigrés et de plus de 3.000 chômeurs, saisissent l'occasion de la mort de leur ami pour exprimer par la violence, leur "ras-le-bol" du chômage, du racisme et du "harcèlement policier".

La violence répétée dans les banlieues des grandes cités a ainsi conduit à la création, en décembre 1990, de la fonction de ministre d'Etat chargé de la Ville, qui sera occupée alors par Michel Delebarre.
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Message par Admin » 02 Déc 2005, 20:42

Source : http://vsfmil.chez-alice.fr

1994

Janvier : Dans les cités de banlieue, les jeunes multiplient les rodéos de voitures volées et les affrontements avec la police qu'ils prennent comme un jeu.

A Rouen, c'est l'émeute après la mort d'Ibrahim Sy, tué par un gendarme alors qu'il se trouvait au volant d'une voiture volée : une centaine de jeunes cagoulés, armés de lance pierres et barres de fer affrontent la police pendant trois jours.
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Message par Admin » 02 Déc 2005, 20:48

Source : http://vsfmil.chez-alice.fr/chrono4.htm

1995

1er novembre : A Laval, un jeune homme de 26 ans est arrêté par les policiers pour avoir commis un délit. Au cours de sa garde à vue, il réussit à s'emparer de l'arme de service d'un fonctionnaire de police : il ouvre le feu à quatre reprises en direction des policiers présents. Ceux-ci ripostent aussitôt : Djamel Bennaka est tué d'une balle en pleine poitrine. Ses camarades appellent à la vengeance durant trois jours d'émeutes.
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Message par Admin » 02 Déc 2005, 20:50

1997

11 novembre : Emeute à la citée Berthe à la Seyne-sur-Mer, près de Toulon. Deux jeunes roulant sans casque en contresens de la circulation viennent percuter un véhicule de la Police Municipale : le conducteur est tué, le passager blessé : s'en suivent trois jours d'affrontements, de pillages et d'incendies.

17 décembre : A Dammarie-les-Lys (Seine et Marne), un jeune de 16 ans est tué d'une balle de revolver par un policier alors qu'il tentait de forcer un barrage de police à Fontainebleau : le quartier de la plaine du Lys, dont est originaire, la victime s'enflamme pendant plusieurs jours.

18 décembre : Emeutes dans la banlieue de Lyon après la mort d'un jeune homme de 24 ans. Ce dernier avait été interpellé pour avoir menacé une personne avec un fusil à pompe. Au cours de sa garde à vue dans les locaux du commissariat de police du 9eme arrondissement de Lyon, l'individu est tué par son propre fusil alors qu'un policier le manipulait au mépris des règles de sécurité : le quartier de la Duchère connaît plusieurs jours d'affrontements entre jeunes et forces de l'ordre.
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Message par Admin » 02 Déc 2005, 20:51

1998

janvier : Flambée de violence à Strasbourg pendant la nuit de la Saint Sylvestre. De violentes échauffourées opposent une centaine de jeunes très déterminés à des C.R.S débordés par l'ampleur et la soudaineté du phénomène : une soixantaine de véhicules sont incendiés, des dizaines de cabines téléphoniques et d'abris bus sont détruits.

12 juin : Dans un quartier " sensible " de Versailles, une patrouille de police est violemment prise à partie par une cinquantaine de jeunes armés de barres de fer et de battes de base-ball : les fonctionnaires étaient venus pour arrêter un individu soupçonné d'avoir renversé une personne lors d'un accident : sept policiers sont blessés.

23 / 24 juin : Flambée de violence à Châteaurenard, une petite commune du Sud de la France : une trentaine de jeunes cagoulés investissent la ville pendant la nuit pour réclamer un foyer et une mosquée. Ils tentent d'incendier la mairie et l'église, puis s'en prennent au commissariat qu'ils bombardent de pavés et de pierres.

octobre : Une manifestation de lycéens à Paris dégénère et une centaine de casseurs venus des banlieues saccagent et pillent des magasins, renversent et brûlent des voitures qui se trouvent à proximité du cortège, avant de s'en prendre aux forces de l'ordre.

12 / 13 décembre : Emeutes dans la banlieue de Toulouse après la mort d'un jeune voleur de voiture tué par un policier qui tentait de l'interpeller à bord d'une voiture volée : les affrontements sont d'une rare violence et durent plusieurs jours.

18 décembre : Un policier est blessé par balle alors qu'il intervenait pour un véhicule brûlé dans un des quartiers chauds de la banlieue de Toulouse : c'est un véritable guet-apens dans lequel un équipage de police secours a été attiré pour venger la mort du jeune voleur puisque à leur arrivée sur les lieux de l'intervention, les policiers sont d'abord accueillis par des jets de pierres puis des coups de feu sont tirés dans leur direction...

31 décembre : Au cours de la nuit de la Saint Sylvestre, comme l'année précédente et malgré des mesures de prévention et un dispositif répressif dissuasif, on assiste à des scènes d'émeutes dans plusieurs quartiers de la banlieue de Strasbourg. A Rouen et Toulouse, la nuit est aussi agitée et de nombreux véhicules sont incendiés. Les sapeurs pompiers qui interviennent pour maîtriser les feux sont victimes de jets de pierres et de cocktails molotovs !

Le même jour, dans un quartier " sensible " d'Orléans, une patrouille de police est accueillie sur une intervention par des jets de pierres et des coups de feu : un policier a la jambe fracturée par une balle de carabine. Un mineur de 17 ans, soupçonné d'être l'auteur du tir, est arrêté.
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Message par Admin » 02 Déc 2005, 20:54

Source : NOUVELOBS.COM | 02.11.05 | 16:05

Voici une chronologie des principales violences urbaines liées à la mort de jeunes gens depuis 10 ans

- 31 août-3 septembre 1995 : Cité des Fontenelles à Nanterre. Des affrontements entre jeunes et policiers éclatent après la mort accidentelle d'un jeune homme de 25 ans, tué par une bétonnière alors qu'il se précipitait sur les lieux de l'arrestation de son frère.

- 25-26 mai 1996 : Quartier Saint-Jean de Châteauroux. Une soixantaine de jeunes envahissent des commerces et incendient plusieurs voitures après la mort d'un jeune dans un accident de la route.

- 18-21 décembre 1997 :
Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne). De violents heurts opposent jeunes et policiers. A l'origine, la mort d'un jeune homme de 16 ans, tué par un policier alors qu'il forçait un barrage à Fontainebleau.

- 13-16 décembre 1998 : Quartier du Mirail à Toulouse. Violents heurts entre groupes de jeunes et forces de l'ordre à la suite de la mort d'un adolescent, Habib, tué par un policier alors qu'il tentait de voler un véhicule. Plus d'une centaine de voitures sont incendiées.

- 16 mai 1999 : Vauvert (Gard).
Mort d'un jeune d'origine maghrébine, tué par balles par un habitant de la commune : bars saccagés, vitrines brisées, voitures incendiées.

- 17-22 septembre 2000 : Cités de la Grande Borne à Grigny et les Tarterêts à Corbeil-Essonnes. Echauffourées à la suite de la mort d'un jeune homme de 19 ans, tué par un policier alors qu'il forçait un barrage après un vol de moto à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne).

- 4-6 juillet 2001 : Quartier de Borny à Metz. Des incidents éclatent après la mort de deux jeunes du quartier dans la collision de leur moto avec une voiture. Une quinzaine de véhicules sont incendiés.

- 13-14 octobre 2001 : Thonon-les-Bains (Haute-Savoie). Après la mort accidentelle de quatre hommes qui voulaient éviter un contrôle policier, une dizaine de voitures sont incendiées.

- 26-31 décembre 2001 : Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne). Cinq nuits d'échauffourées entre délinquants et forces de police après le décès d'un jeune originaire de Vitry, abattu alors qu'il tentait de braquer une banque de Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis). Plus d'une soixantaine de voitures incendiées.

- 3-7 janvier 2002 : Mureaux (Yvelines).
Une cinquantaine de voitures sont incendiées après la mort d'un jeune de 17 ans, originaire de la cité sensible des Musiciens, tué par un policier alors qu'il forçait un barrage sur le boulevard périphérique.

- 25-26 février 2002 : Evreux. Des groupes de jeunes masqués affrontent la police, incendient une dizaine de véhicules et brisent les vitres de commerces, après le décès par overdose d'un homme dans l'enceinte du commissariat.

- 18-19 octobre 2002 : Quartier de Hautepierre à Strasbourg. Plusieurs dizaines de jeunes armés de battes de base-ball affrontent les forces de l'ordre, incendiant une vingtaine de voitures à la suite de la mort par noyade d'un mineur de 17 ans, surpris en train de cambrioler un entrepôt et qui avait plongé dans le Rhin pour s'enfuir. Depuis l'an 2000, des milliers de voitures ont été brûlées dans l'agglomération strasbourgeoise.

- 12-14 janvier 2004 : Quartier de Hautepierre à Strasbourg. Des affrontements opposent policiers et groupes de jeunes, qui incendient une dizaine de véhicules et tentent de projeter une voiture-bélier enflammée contre un poste de police après la mort d'un jeune homme de 19 ans, fauché sur une moto volée alors qu'il tentait d'échapper à la police.
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Message par Admin » 02 Déc 2005, 21:10

2005

LIEN

Émeutes de 2005 dans les banlieues françaises

Les émeutes de 2005 dans les banlieues françaises ont commencé à Clichy-sous-Bois le 27 octobre 2005 puis se sont répandues dans un grand nombre de banlieues pauvres à travers la France. L'état d'urgence a été déclaré le 8 novembre 2005, puis prolongé pour une durée de 3 mois. Au 15 novembre, la situation n'est pas calmée.

Elles ont essentiellement pris la forme d'incendies et de jets de pierres contre les forces de l'ordre. Dans certains cas, ces violences ont dégénéré en émeutes opposant plusieurs centaines de personnes dans des quartiers dits « sensibles » contre les forces de police françaises, avec parfois des tirs à balles réelles contre les policiers.

Le 3 novembre au matin, l'on comptabilisait 315 véhicules brûlés et 29 arrestations à Clichy-sous-Bois et d'autres quartiers proches. Au soir du 4 novembre, les affrontements continuent et le climat est toujours aussi tendu avec un certain apaisement à Clichy-sous-Bois (93), point de départ de ces émeutes. Les émeutes se sont ensuite étendues à d'autres quartiers de Seine-Saint-Denis, puis aux autres départements de l'Île-de-France. Des actes de vandalismes puis des émeutes sont ensuite apparus dans d'autres villes de province (Rouen, Dijon, Marseille, Lille, Toulouse, Strasbourg et d'autres). La nuit du dimanche 6 au lundi 7 novembre fut la plus active avec 1 408 véhicules brûlés, 395 personnes arrêtées et des agitations et vandalismes en nombre croissant dans les villes provinciales. À partir du mardi 8 novembre, le bilan des destructions de chaque nuit est régulièrement en baisse.

Ensemble, ces trois semaines de violence urbaine sont les plus importantes agitations en France depuis mai 1968.

Bilan:
21 Nuits violences sur toute la France
Véhicules brûlées: 9 193
Interpellation : 2 921
Policiers blessés : 56
2 civils tués

Vidéo:

Ouvrir Windows Medio puis fichier >> Ouvrir URL

Je n'ai aps eu le temps de tout regarder ils disent peut etre des conneries...

http://www.zoomin.tv/asx/dsp_asxplaylis ... &quality=3

http://www.zoomin.tv/asx/dsp_asxplaylis ... &quality=3

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http://www.zoomin.tv/asx/dsp_asxplaylis ... &quality=3

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http://www.zoomin.tv/asx/dsp_asxplaylis ... &quality=3

Video

+ Nouvelles vidéos "Le Monde"

http://www.lemonde.fr/web/vi/0,47-0@2-3 ... 172,0.html

http://www.lemonde.fr/web/vi/0,47-0@2-3 ... 172,0.html
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Message par Admin » 02 Déc 2005, 22:10

Comme quoi la plupart des faits de violences urbaines, sont le faite d'évènements liés à la mort de jeunes de ses cités, mais le faite est que ses morts sont du aux jeunes eux mêmes et non aux policiers qui ne font que leur boulot, c'est à dire courir après des fuillards ou poursuivre des véhicules refusant un contrôle...

Ou tout simplement pour des accidents de la route.

Mais bon ça doit faire bien de rejeter la faute sur les policiers! Faudra m'expliquer comment arrêter une voiture volée sans la poursuive, si on la voit passé bien gentillement a côté de soi...
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Message par Enzi » 02 Jan 2006, 13:03

ça te dérange pas de parler tout seul ??? PDT_Armataz_02_10
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Message par l'emmerdeur » 02 Jan 2006, 13:16

mais t'es qui toi pour parler comme ça au patron du site,va te presenter et apres on verra!
PDT_Armataz_02_13 p'tit c..!!!!
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Localisation : là ou l'on ne m'attend pas!

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Message par Admin » 02 Jan 2006, 13:22

Un gamin, laissons tombé !

Il a décidé de partir... PDT_Armataz_02_07
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Re: re

Message par Roro » 21 Mars 2006, 07:20

Cela fait donc 26 ans que cela dure et pas la moindre amélioration à l'horizon, bien au contraire. Nous avons connu par le passé la guerre de cent ans, sommes-nous en train de vivre la guérilla urbaine de 100 ans? Et qui sera notre Jeanne d'Arc cette fois-ci? s16
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